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Mon premier livre, Le Guide du Chineur est paru en octobre 2014. Il est né de la volonté de donner une enveloppe concrète à l’ensemble des informations que je pouvais transmettre dans le programme Un Trésor dans votre Maison. En effet, si la télévision est un outil de communication dont la puissance et la force sont indéniables dans l’immédiateté, les choses sont bien différentes dans la durée.

Autour de cinq chapitres essentiels, le Guide du Chineur, devenu Savoir Chiner en mai 2016 aux Editions du Chêne, regroupe les connaissances fondamentales pour ceux qui s’intéressent aux « choses anciennes » dans leur ensemble. Peinture, estampes, mobilier ancien, porcelaine, faïence, argenterie et métal argenté… La liste serait longue. C’est, en tout, plus de cinquante trucs et astuces que j’ai regroupés dans mon livre. Ils permettent d’identifier, d’authentifier et de dater une grande partie des objets que l’on peut rencontrer.

Il n’est pas question de prix, de cote ou d’estimation. Avant tout, Il est question ici de comprendre et de savoir. C’est la première étape indispensable. Comment reconnaître l’argent massif ? Et le métal argenté? Qu’est-ce qu’une faïence ? Quelle est la différence avec une porcelaine ?

Savoir Chiner regroupe ces informations essentielles dans un format compact pour que le livre puisse être emporté partout. Marchés aux puces, foires, salles des ventes, brocantes, il est fait pour être confronté à la réalité du marché. Concret, simple mais pas simpliste, il permet à son lecteur de décrypter une réalité souvent complexe en matière d’antiquités. Il ne possède ni début ni fin, chaque astuce est présentée par une double page qui permet une lecture aisée. Il peut être ouvert à n’importe endroit pour délivrer une information concrète, applicable immédiatement.

Depuis sa réédition en mai 2016, le livre a été enrichi d’un lexique reprenant l’ensemble de termes importants évoqués dans le texte.

Chaque chapitre est accompagné de schémas et d’illustrations dont je suis également l’auteur. Passionné de dessin j’ai eu la chance de pouvoir utiliser mon travail pour illustrer ce premier livre. J’ai porté toute mon attention à produire des illsutrations claires et précises. C’est plus particulièrement le cas pour les poinçons. Je trouvais ces derniers souvent mal reproduits.